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jeudi 1 décembre 2011

Buffet: "marre" de l'affaire DSK et des "explications qui n'en sont pas"

La députée Marie-George Buffet, ex-numéro un du PCF, a déclaré jeudi en avoir "marre" des développements de l'affaire DSK, avec son "étalage" et ces "explications qui n'en sont pas". Conviée par Canal + à commenter les derniers rebondissements de ce dossier - version de Dominique Strauss-Kahn développée dans un livre par son biographe Michel Taubmann - l'élue de Seine-Saint-Denis a lancé : "Franchement, j'en ai marre. Marre de cet étalage, de ces explications qui n'en sont pas, de ces justifications: j'ai rien fait d'illégal..." "Ca suffit ! La prostitution, les femmes qu'on paye ou qu'on se ferait payer, tout ça serait normal. Non ! C'est pas normal !", a lancé Mme Buffet. "Ce n'est pas normal de sauter sur une femme même si elle vous a lancé un regard. Qu'est-ce que c'est que ce comportement ? Le fameux roman des pulsions masculines ?" En août, l'ex-ministre avait été une des rares à regretter la perspective d'un abandon, par la justice américaine, des poursuites pénales contre M. Strauss-Kahn, y voyant le risque d'un retour au temps où "les victimes de viols étaient a priori coupables".

Sur tf1.fr

3 commentaires:

  1. christophe aubert1 décembre 2011 à 22:37

    J'ai vu son ras le bol à la télvision, il semble de plus en plus majoritaire, j'ai du mal à comprendre pourquoi ces gens là, ceux autour de DSK, et DSK lui même, insiste lourdement, car plus cela va aller, plus leur attidtude, la négation, le mensonge, va se retourner contre eux dans l'opinion.

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  2. Euterpe2 décembre 2011 à 00:57

    A Christophe aubert : moi je commence à avoir une petite idée sur la question. Je crois que là derrière,ce sont encore et toujours les banques qui veulent faire la loi en Europe et qui sont très embarrassées de l'éviction de leur poulain. Ceux qui voulaient mettre DSK à la tête de la France sont les mêmes qui ont mis Mario Monti à la tête de l'Italie.
    Maintenant ils s'acharnent à le remettre en selle parce qu'il n'ont pas de canasson de rechange. DSK est des leurs. C'est un "banquier" qui a étroitement travaillé avec la BCE. L'impopularité que DSK s'est taillée avec son comportement criminel les em... et contrecarent grandement leurs plans. Ceux-là se fichent de mettre un violeur ou pas à une place dont dépend leur business...

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  3. christophe aubert2 décembre 2011 à 13:55

    J'aime bien votre théorie, Angrywoman.
    Bonne soirée.

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