Extrait d'un article paru sur Agoravox à propos de l'affaire d'Outreau :
« .....
- Juillet 1997 : quelques personnes d'Outreau (des
travailleurs sociaux ?) viennent en Belgique à l'occasion d'une marche
blanche organisée dans la ville côtière de La Panne pour témoigner d'une
attitude inadmissible de la Justice du Pas-de-Calais qui, selon eux,
ferme les yeux sur un réseau pédocriminel comprenant des " personnalités
locales ". Ils s'adressent à moi et je leur conseille de prendre langue
avec Carine et Gino Russo, parents de l'une des victimes de Marc
Dutroux, ainsi qu'avec le journaliste Michel Bouffioux, tous trois
présent à cette manifestation. Je n'ai pas eu connaissance des suites.
- 1999/2000 : une cellule des Renseignements généraux français est
venue en Belgique enquêter sur l'affaire Dutroux et son traitement par
la société belge, société civile comprise. Cette cellule s'est également
adressée à moi et m'a avoué, lors de notre deuxième rencontre, à Lille,
avoir été mise sur pied pour éviter que la France ne soit déstabilisée
par une affaire de même nature que l'affaire Dutroux.
- Juillet 2001 : Thierry Billard, directeur littéraire aux éditions
Flammarion, m'a révélé que l'éditeur subissait une pression politique et
diplomatique qu'il n'avait jamais éprouvée à un tel point, pour
renoncer à la publication du livre Dossier pédophilie, le scandale de l'affaire Dutroux,
co-écrit par un journaliste d'investigation luxembourgeois, Jean
Nicolas, et moi. Devançant la capitulation imminente de l'éditeur, Jean
Nicolas, homme vénal, je le découvrirai plus tard, mais remarquable
"fouille-merde", était parvenu à se procurer les fichiers informatiques
de l'ouvrage chez l'imprimeur et a menacé Flammarion de publier ailleurs
notre livre, ce qui a décidé Flammarion à éditer notre travail pour le
saboter dès la sortie. Je pourrai vous détailler tout cela. Il y a eu
deux suites judiciaires à cette affaire, l'une à Paris en 2001, l'autre à
Bruxelles, nouée également en 2001 elle vient de trouver un épilogue en
cour de Cassation de Belgique.
- Juillet 2001 toujours : les autorités belges
sabotent la commission rogatoire internationale du juge Fabrice Burgaud,
visant notamment à documenter le volet de l'enquête concernant
l'huissier Alain Marécaux. Lorsqu'enfin l'autorisation d'enquêter en
Belgique fut accordée au juge français, le ménage avait été fait.
- 1er mars 2004 : ouverture du procès Dutroux, Nihoul et consorts à Arlon.
- 4 mai 2004 : ouverture du procès d'Outreau à Saint-Omer.
Les faits que je résume par cette chronologie sommaire ouvrent
nécessairement l'hypothèse que l'affaire d'Outreau a été politiquement
conduite pour discréditer à jamais la parole des enfants victimes. Pour
vérifier la pertinence de cette hypothèse, il faudra examiner les
basculements de la presse tant en Belgique qu'en France, comparer les
dynamiques des deux commissions parlementaires, reprendre le fil de
l'instruction belge et le comparer avec celui de l'instruction
française, y compris les instructions d'audience en cours de procès. Et
faire ressortir par des faits les blocages internes des deux côtés.
C'est un gros travail mais tous les documents existent, les témoins
aussi. La condition faite à tous les enfants, victimes passées,
présentes et à venir, nous l'impose. Nous l'impose à tous, qui que
nous soyons.
Je suis bien entendu, Maître, à votre entière disposition,
Frédéric Lavachery
Président du Centre Haroun Tazieff pour les Sciences de la Terre.
(des bigotes, des putes et des guenons qui mangeons des bananes)
Pages
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vendredi 26 juin 2015
mercredi 24 juin 2015
"Je ne sais pas si la justice a été rendue (...)"
Titre de l'article = citation de maître Forster à l'issue du procès Outreau 3 : "Je ne sais pas si la justice a été rendue mais elle a été énoncée".
(Je reproduis ici un article sur celui qui vient d'être RÉ-acquitté dans l'affaire d'Outreau. Mais des témoin(e)s possiblement à charge ont été gentiment invité(e)s à rester chez eux si l'on croit cet article. Les témoin(e)s que l'on a convoqué(e)s, on se le rappelle, ont été les ancien(ne)s acquitté(e)s d'Outreau 1 qui ont tous assuré ne pas connaître l'accusé et dans la foulée qu'il est innocent. Il est donc désormais possible de venir proclamer l'innocence d'inconnus (sans "e" parce que cela ne doit valoir que pour les hommes) si un avocat vous le demande gentiment. Mais, pourquoi faire, s'il est inconnu, me demanderez-vous ? Réponse : parce que !).
Article tiré de Le blog de Caprouille publié sur Médiapart
(Je reproduis ici un article sur celui qui vient d'être RÉ-acquitté dans l'affaire d'Outreau. Mais des témoin(e)s possiblement à charge ont été gentiment invité(e)s à rester chez eux si l'on croit cet article. Les témoin(e)s que l'on a convoqué(e)s, on se le rappelle, ont été les ancien(ne)s acquitté(e)s d'Outreau 1 qui ont tous assuré ne pas connaître l'accusé et dans la foulée qu'il est innocent. Il est donc désormais possible de venir proclamer l'innocence d'inconnus (sans "e" parce que cela ne doit valoir que pour les hommes) si un avocat vous le demande gentiment. Mais, pourquoi faire, s'il est inconnu, me demanderez-vous ? Réponse : parce que !).
Article tiré de Le blog de Caprouille publié sur Médiapart
samedi 20 juin 2015
SILENCIÉE !
Je l'apprends à mes dépends : il est interdit de dire qu'Outreau
n'est pas synonyme d'erreur judiciaire, d'accusation à tort et de tort
qui tue.
La presse est unanime même la presse dite indépendante comme, entre autres, le Canard enchaînée (cf. son article "Outreau tous les jours" n° du 10.6) : il faut se méfier des enfants menteurs qui accusent à tort de pauvres adultes innocents d'avoir porté atteinte à leur intégrité car ils font cela uniquement dans le but de leur nuire.
Et cette nuisance, à partir du procès d'Outreau qui a reconnu 12 victimes de viols et de proxénétisme mais n'a trouvé aucun client, a un nom : Outreau.
Oui, car les enfants sont par essence anti-adultes et conspirent volontiers entre eux jouant de leur faiblesse (qui n'est qu'apparente, bien sûr) pour crier "au viol" dès qu'on leur refuse une faveur, un bonbon, un jouet, la télé, que sais-je. Des tyrans en herbe, des dictateurs en jupette et culotte courte, des sournois(es) en couche jetable, des monstres en barboteuse, de la malfaisance imberbe et miniature perfidement à l'oeuvre.
Sur twitter il existe un hashtag "Outreau" où tous les tenants de la thèse des mensonges et des "faux souvenirs" d'enfants se réunissent pour communiquer des liens attestant la très grande valeur valable de leur théorie de la conspiration enfantine + se tiennent chaud à coup de "révisionnistes" (l'anathème suprême contre leurs opposant.e.s) leur petit mot fétiche.
Sur le même hashtag d'autres intervenant.e.s dont moi, martèlent, à l'inverse de ces négationnismes du pédosadisme, que la théorie des enfants menteurs ou atteint d'Alzheimer est extrêmement dommageable pour les enfants victimes car, en étant considérés À PRIORI comme menteurs/euses, ils sont tout simplement contraint.e.s de se taire.
Dans le premier jugement d'Outreau, on a vu l'avocat de la défense traiter directement les enfants de menteurs après qu'ils aient été placés dans le banc des accusés. Cet acte est une infraction totale à toutes les conventions des droits de l'enfant signées par la France mais pas un.e journaliste pour le dire !
Nier que l'intégrité des enfants peut être violée quand un adulte enfreint ses limites physiques sans son consentement c'est laisser la voie libre aux violeurs d'enfants, cela tombe sous le sens!
Mais voilà : pour les théoriciens du mensonge enfantin et de sa mémoire défaillante, il n'y a tout simplement pas de violeurs d'enfants. Et s'il y en a, ce n'est ni en écoutant les enfants, ni en écoutant les parent(e)s/tuteurs/trices protecteurs/trices, ni non plus les pédopsychiatres, ces "faux-sachant.e.s" (sic) qu'on peut le savoir. C'est seulement si le violeur d'enfant en parle lui-même tout seul comme un grand. Et encore. Il aura confondu.
Alors toutes les personnes qui cherchent à remettre le discours à l'endroit, car l'enfant n'est évidemment pas dans une position de force par rapport à l'adulte, sont dénigrées, diffamées, moquées, harcelées, discréditées, clouées au pilori tout particulièrement dans les médias, propagandistes actifs de la doxa du mensonge enfantin.
En dernier on remet en cause le CV de ces défenseurs/euses. Il faut les réduire à néant, les faire taire également. Ca va donc très loin.
Faisant partie de la catégorie des indigné.e.s de ce mouvement particulièrement agressif de silencieurs d'enfants et de leurs défenseurs/euses qui sévit sur twitter sous le hashtag "Outreau" (mais pas seulement malheureusement), et m'efforcant de combattre les auteurs avec certaines de leurs armes (CV, par exemple), j'ai découvert que l'un d'entre eux a des ennuis avec la justice et a même fait de la prison. Ce qui de mon point de vue annule sa crédibilité mais l'administration de twitter semble voir cela différemment.
j'ai été signalée par cet ancien interné en psychiatrie* à qui l'on a même retiré les enfants. Chose qu'il publie sur son blog et dont il ne fait aucun mystère, bien au contraire. Il répand allègrement ces infos sans le moindre égard pour ses deux filles et cela dans tous les coins du net, afin d'hurler à l'injustice (sans quoi je ne l'aurais logiquement pas su). Il m'accuse d'avoir mentionné cet élément de sa vie dont il fait pourtant étalage et bien que l'ayant signalé à mon tour pour harcèlement, je n'ai pas obtenu son éviction. C'est moi aujourd'hui qui suis interdite d'accès sur twitter !
Silenciée à mon tour.
Outreau n'est donc pas synonyme d'erreur judiciaire mais bien d'Omerta.
*je me suis trompée précédemment sur son type d'enfermement
La presse est unanime même la presse dite indépendante comme, entre autres, le Canard enchaînée (cf. son article "Outreau tous les jours" n° du 10.6) : il faut se méfier des enfants menteurs qui accusent à tort de pauvres adultes innocents d'avoir porté atteinte à leur intégrité car ils font cela uniquement dans le but de leur nuire.
Et cette nuisance, à partir du procès d'Outreau qui a reconnu 12 victimes de viols et de proxénétisme mais n'a trouvé aucun client, a un nom : Outreau.
Oui, car les enfants sont par essence anti-adultes et conspirent volontiers entre eux jouant de leur faiblesse (qui n'est qu'apparente, bien sûr) pour crier "au viol" dès qu'on leur refuse une faveur, un bonbon, un jouet, la télé, que sais-je. Des tyrans en herbe, des dictateurs en jupette et culotte courte, des sournois(es) en couche jetable, des monstres en barboteuse, de la malfaisance imberbe et miniature perfidement à l'oeuvre.
Sur twitter il existe un hashtag "Outreau" où tous les tenants de la thèse des mensonges et des "faux souvenirs" d'enfants se réunissent pour communiquer des liens attestant la très grande valeur valable de leur théorie de la conspiration enfantine + se tiennent chaud à coup de "révisionnistes" (l'anathème suprême contre leurs opposant.e.s) leur petit mot fétiche.
Sur le même hashtag d'autres intervenant.e.s dont moi, martèlent, à l'inverse de ces négationnismes du pédosadisme, que la théorie des enfants menteurs ou atteint d'Alzheimer est extrêmement dommageable pour les enfants victimes car, en étant considérés À PRIORI comme menteurs/euses, ils sont tout simplement contraint.e.s de se taire.
Dans le premier jugement d'Outreau, on a vu l'avocat de la défense traiter directement les enfants de menteurs après qu'ils aient été placés dans le banc des accusés. Cet acte est une infraction totale à toutes les conventions des droits de l'enfant signées par la France mais pas un.e journaliste pour le dire !
Nier que l'intégrité des enfants peut être violée quand un adulte enfreint ses limites physiques sans son consentement c'est laisser la voie libre aux violeurs d'enfants, cela tombe sous le sens!
Mais voilà : pour les théoriciens du mensonge enfantin et de sa mémoire défaillante, il n'y a tout simplement pas de violeurs d'enfants. Et s'il y en a, ce n'est ni en écoutant les enfants, ni en écoutant les parent(e)s/tuteurs/trices protecteurs/trices, ni non plus les pédopsychiatres, ces "faux-sachant.e.s" (sic) qu'on peut le savoir. C'est seulement si le violeur d'enfant en parle lui-même tout seul comme un grand. Et encore. Il aura confondu.
Alors toutes les personnes qui cherchent à remettre le discours à l'endroit, car l'enfant n'est évidemment pas dans une position de force par rapport à l'adulte, sont dénigrées, diffamées, moquées, harcelées, discréditées, clouées au pilori tout particulièrement dans les médias, propagandistes actifs de la doxa du mensonge enfantin.
En dernier on remet en cause le CV de ces défenseurs/euses. Il faut les réduire à néant, les faire taire également. Ca va donc très loin.
Faisant partie de la catégorie des indigné.e.s de ce mouvement particulièrement agressif de silencieurs d'enfants et de leurs défenseurs/euses qui sévit sur twitter sous le hashtag "Outreau" (mais pas seulement malheureusement), et m'efforcant de combattre les auteurs avec certaines de leurs armes (CV, par exemple), j'ai découvert que l'un d'entre eux a des ennuis avec la justice et a même fait de la prison. Ce qui de mon point de vue annule sa crédibilité mais l'administration de twitter semble voir cela différemment.
j'ai été signalée par cet ancien interné en psychiatrie* à qui l'on a même retiré les enfants. Chose qu'il publie sur son blog et dont il ne fait aucun mystère, bien au contraire. Il répand allègrement ces infos sans le moindre égard pour ses deux filles et cela dans tous les coins du net, afin d'hurler à l'injustice (sans quoi je ne l'aurais logiquement pas su). Il m'accuse d'avoir mentionné cet élément de sa vie dont il fait pourtant étalage et bien que l'ayant signalé à mon tour pour harcèlement, je n'ai pas obtenu son éviction. C'est moi aujourd'hui qui suis interdite d'accès sur twitter !
Silenciée à mon tour.
Outreau n'est donc pas synonyme d'erreur judiciaire mais bien d'Omerta.
*je me suis trompée précédemment sur son type d'enfermement