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lundi 17 octobre 2011

DSK-Berlusconi : le priapisme en berne, mais toujours pas en taule!

17.10.2011


Le très honteux et scandaleux dénouement judiciaire de l' agression sexuelle caractérisée, reconnue officiellement comme telle par la justice française, subie par Tristane Banon de la part du sinistre Strauss-Kahn devrait, pour le coup, susciter une INDIGNATION populaire générale, alors qu' il apparaît que cette énième "affaire" concernant l' "ultra-favori des sondages" d' avant le 14 Mai 2011 ... va tomber, comme tant et tant d' autres "affaires similaires" dans les oubliettes d' un autre âge des "gaudrioles rabelaisiennes" de sacrés bons-vivants sous l' emprise, selon le mot de Kissinger, du plus puissant des aphrodisiaques : le "Pouvoir"!

Pour résumer les motifs de la "décision du tribunal" de "classer sans suite" la plainte déposée POUR TENTATIVE DE VIOL par Tristane Banon contre Dominique Strauss-Kahn : Vu que l' "agression sexuelle " n' a pas abouti à un "viol en bonne et due forme" ... la plaignante a outrageusement dépassé les délais décents de réaction (pourtant très généreusement fixés par la loi gauloise à TROIS ANNEES PLEINES ... alors, tout-de-même, tout-de-même ...) accordés à toute personne (le plus souvent, comme par hasard, des femmes, dont les tendances hystériques "naturelles" sont reconnues par les plus hautes autorités masculines) estimant avoir été "AGRESSEE SEXUELLEMENT" "SANS QUE CETTE AGRESSION AIT ABOUTI AVEC SUCCES A PENETRER SON OBJET".

"La Cour", Mesdames et Messieurs, conclut donc que la plaignante ayant bel et bien subi une agression sexuelle QUI AURAIT PU ABOUTIR A UN VIOL MAIS DONT L' AUTEUR A HELAS PU ÊTRE FREINE DANS SON ELAN VIRIL EXCESSIF ... que la dîte plaignante Tristane Banon (pourtant si frêle et si jeune au moment des faits : mais comment diable a-t-elle fait pour "s' en sortir" ... même Nafissatou de New-York, boxant dans une autre catégorie, n' y est pas parvenue ... mais c' est vrai que c' était une menteuse puisqu' elle avait déjà menti) ... que la dîte plaignante, disions-nous, ne s' est révélée à nous que HUIT ANS APRES DES FAITS DONT LA GRAVITE AURAIT DU, EN TOUTE LOGIQUE JURIDIQUE, LUI PROVOQUER UN "REFLEXE DE DROIT" AUTREMENT PLUS RIGOUREUX ... LA COUR NE PEUT QUE CONCLURE QUE LES FAITS EN QUESTION DOIVENT DES LORS ÊTRE CONSIDERES COMME PLUS QUE LARGEMENT PRESCRITS PAR NOTRE ORDONNANCE ...

Cependant, dans un souci d' apaisement et de synthèse nécessaire quand un primate historique est en cause, LA COUR DECIDE DE NE PAS INFLIGER D' AMENDE NI DE PEINE DE PRISON A LA PLAIGNANTE ABUSIVE TRISTANE BANON POUR LES CINQ ANNEES (CINQ ANNEES, MAIS VOUS VOUS RENDEZ COMPTE!) DE DEPASSEMENT DE REFLEXE DE DROIT : L' OUTRAGE A MAGISTRATS-DE-MES-DEUX NE SERA DONC PAS RETENU!

Bordel, Monsieur le Président du Tribunal, et si on allait se changer les idées au Carlton de Lille? Paraît qu' y-en-a d' nouvelles!

MB

Sur le blog de Monsieur Beaumari

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