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jeudi 10 mai 2012

Les DSK, ça ne manque pas ! Virez ces élus misogynes de m.... ! Ils sont dangereux !

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Gironde: une candidate du Front de Gauche giflée par un candidat MRC

Publié le 09.05.2012, 20h06

La candidate du Front de gauche sur la 10e circonscription de la Gironde, Marie-Laurence Arnaud, a porté plainte mercredi contre Patrick Nivet, candidat du Mouvement républicain et citoyen (MRC) aux législatives, qui l'a giflée en marge des cérémonies du 8 mai, a-t-on appris auprès des intéressés.
"Je n'appelle pas ça un incident (...), il m'a mis une gifle avec une force particulière car j'ai trois jours d'incapacité totale de travail (ITT) et c'est pourquoi j'ai déposé plainte contre lui pour violence volontaire", a indiqué à l'AFP, Mme Arnaud, confirmant une information du site de Sud Ouest.

"Je l'ai giflée et je le regrette", a expliqué M. Nivet, également élu MRC à la mairie de Libourne. Ce médecin hospitalier de 63 ans se dit soulagé par ce dépôt de plainte car "cela va me permettra d'expliquer l'affaire qui est une maladresse de ma part".
La gifle a été donnée après des cérémonies du 8 mai à Libourne à l'issue d'une discussion envenimée entre les deux candidats.
"C'est une erreur majeure d'avoir discuté avec elle", affirme l'élu libournais qui qualifie successivement son geste "d'incident, de boulette et de maladresse" et dont il "s'est entretenu" mardi, avec l'intéressée, au d'un déjeuner.
Un point de vue qui n'est pas partagé par la candidate de 54 ans qui qualifie d'"intolérable" le fait qu'"un homme tape une femme" et, "en tant que candidat, on doit montrer l'exemple encore plus que les autres".
"C'est quelqu'un qui a bafoué ces valeurs et qui n'est plus digne d'être candidat et élu", affirme la candidate.
"Lors de ce déjeuner, je me suis excusé et pour elle l'affaire était close", a indiqué M. Nivet, qui estime que Mme Arnaud est peut être revenue sur sa décision car "elle a tout de suite senti qu'il y avait un coup à faire".
Pour sa part, la victime a expliqué avoir porté plainte mercredi car "il faut que ce type d'attitudes machistes soient condamnées" et "qu'il soit confronté à la gravité de son acte".

sur Le Parisien.fr

2 commentaires:

  1. "Un *coup* à faire" ou comment inverser les rôles, par la sémantique, entre l'agresseur et la victime. C'est une façon de préparer le terrain pour pouvoir ensuite aller pleurnicher qu'il a été provoqué. Il se présente déjà comme la victime d'une garce procédurière. Si la mauvaise foi pouvait tuer, ça nous débarrasserait bien le plancher, parfois.
    Mais enfin qu'est-ce qu'ils croient, tous ces idiots d'agresseurs ? On demande pardon, on fait un bisou magique sur le bobo et on n'en parle plus ? Non mais ça suffit !
    Le maire d'un village a été condamné, si je me souviens bien, pour avoir giflé un adolescent suite à un échange de noms d'oiseau. Ça va être intéressant de comparer l'issue des deux plaintes...

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  2. A Anonyme : ben oui c'est normal une baffe à une femme. Pas de bon film sans une femme baffée dedans !
    S'il avait baffé un homme ce serait un scandale qui aurait fait le tour du monde : un homme politique qui en frappe un autre ! Crime de lèse-connivence entre mâles ! Mais une femme...normal. Il faut bien leur rappeler de temps en temps où est leur VRAIE place.

    Un adolescent c'est un garçon pourvu de deux testicules et d'un pénis. Le pénis est le maître du monde. De son gland procède toutes choses. C'est écrit dans la Bible : la pluie, le beau temps, le Soleil, les oiseaux dans le ciel, etc...

    Oui moi aussi je suis énervée par ces imbéciles.

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