Marie-Célie Guillaume, ex-directrice de cabinet de Patrick Devedjian, conseiller des Hauts-de-Seine, dans son livre "Un monarque, son fils, son fief" publié aux éditions du Moment (avec un titre qui ne fait sans doute pas par hasard penser à "Ein Reich, ein Volk, ein Führer" ((« Un peuple, un « empire », un chef »)) raconte une intéressante anecdote concernant notre ancien pet résident (ou ne doit-on pas plutôt dire l'ex-prostitueur de la République ?).
Voici l'anecdote :
Lors d'un rendez-vous avec Sarko pour lui demander des fonds destinés au musée de sa ville, une élue locale s'est vue réclamée "une gâterie".
"Sois gentille... Tu vois bien que j'ai besoin de me détendre. Allez, c'est pas grand chose ! Tu ne peux pas me laisser comme ça" aurait dit le Monarque. L'élue ne l'a pas laissé tomber et a obtenu son financement.
La vidéo où Marie-Célie Guillaume raconte l'affaire.
Françoise d'Eaubonne écrivait dans Le féminisme ou la mort : "tant
que subsistera le pouvoir mâle, il va de soi que rien ne peut changer
sur ce plan, et que l'origine même des conditions de vie n'a aucune
raison d'être réexaminée. La morale
est condamnée en ces mains millénaires à conserver comme pulsions
primordiales l'agressivité, l'instinct de destruction et de violence,...".
Il est donc temps de dessiner un Sarkozy infligeant une fellation à une France personnifiée
....et de faire dégager du pouvoir le trop plein de mâles. La population mondiale est constituée de 52% de femmes. Que foutent donc tous ces branleurs aux plus hautes fonctions ? Du balai !
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