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Galeries de pubescentes et d'adolescentes étalées comme de la viande, vendues symboliquement comme
des corps à baiser dans les films Lolita 1962, Bilitis 1977, Pretty Baby 1978, Lolita 97, au passage rappelons-nous du cul de Samantha Geimer (13 ans) photographiée (entre autres choses qui lui a été faites) par Polanski et enfin Jeune et Jolie 2013 (j'en ai laissé un paquet de côté), 17 ans et à poil cette fois.
Mais on veut nous faire croire qu'il s'agit d'une sorte de remake de "Belle de Jour" 1967 c'est tout. Et qui ne l'a pas compris ne comprend rien au cinéma, ce grand ââârt (réservé à la mâââlitude) ! Oui, il y est aussi question d'une femme fantasmée à donf', oui elle est bien couchée le cul en l'air certes, mais c'est une femme adulte (et puis elle a un soutif) ! Donc monsieur Ozon a voulu aller un cran plus loin (transgresser les tabous étant synonyme de putiser les fillettes, on attend le prochain cran franchi où c'est le nourrisson fille qui hurle qu'on le baise). Le cinéma n'est que la vitrine du bordel (de la cage aux fauves) que la patriarquie aménage à la femelle de tout âge pour la faire tenir tranquille et la baiser à loisir. Le pacha rebâtit juste son harem autrement.
Ce soi-disant "art" là me révulse. je pense à ma fille disparue à 32 ans et violée à 18 !
RépondreSupprimerElle l'avait donc bien cherché?
Si lolita il y a ou jeune ado "un peu" affriolante, ne serait-ce pas aussi la faute de ses parents ou des fantasmes de son père?
Où est la cause , où est la conséquence? Ozon quant à lui a déjà tranché dans le vif: ce sont ces jeunes filles qui "aguichent"! A gerber.
Si on laissait un peu les femmes s'exprimer au lieu de médiatiser des fantasmes d'hommes blancs nantis qui transforment les filles en accessoires à leur service, on n'en serait pas là.
SupprimerLes parents, je ne sais pas mais la culture mainstream, c'est cela : la sempiternelle répétition des mêmes stéréotypes très faux auxquels finissent par croire les gens avec le danger pour les jeunes filles que cela représente.
L'art ne sert qu'à consolider le patriarcat.
Il n'y aura jamais rien de rénovateur dans l'art tant que 99% des hommes seront seuls à le représenter et s'auto-porteront au pinacle.
Je suis complètement d'accord et j'ai du mal à comprendre qu'on puisse accepter de voir sortir sa fille mineure habillée en bimbo , comme à la télé.
SupprimerCe qui relève quand même "un peu" du fantasme des adultes pour qui l'attirance passe par les stéréotypes que l'art cinématographique et la pub ( qui passe aussi pour un art) véhiculent. Sans doute ce que vous appelez la culture "mainstream"
Le problème est que la fille mineure est elle-même poussée à s'habiller en bimbo et que c'est parfois difficile pour les parents de l'en empêcher étant donné que c'est aussi un âge où elle a droit à de l'argent de poche ! La pub, les stars, les journaux pour ados, la télé, les autres ados, tout entraîne la fillette en transformation à s'hypersexualiser, elle ne sait pas pourquoi, sauf que "c'est la mode" et que ne pas être à la mode, c'est être exclu. Le système qui veut en faire des choses et non des humaines, le sait lui !
SupprimerQuant aux figures de ces films, elles sont habillées par les metteurs en scène (tous des hommes), ce ne sont pas leurs fringues à elles, vous vous en doutez, j'espère !