ANgrywOmeNYMOUS


mardi 5 novembre 2013

Les anti-abolitionnistes, ces mochetés IV


Beau comme l'étudiant en agronomie et membre de Zéromacho, Hans Broich-Wuttke, fils de l'acteur allemand Martin Wuttke.

Hideux comme l'antiabolitionniste Basile de Koch, signataire du manifeste des 343 salauds : peau grasse et acnéique de bouffeur de cadavre, couperose et yeux hépatiques d'alcoolo = tout pour plaire.


Basile de Koch: Les deux frères règlent leurs comptes par voie de presse
Après les juxtapositions révélatrices des beautés et des mochetés I, II et III, on voit avec la n°IV que le prosti-tueur est tout bonnement vomitif tandis que l'abolitionniste a carrément la super classe.

Les "salauds" ont une sale gueule III

Dans le registre : les antiabolitionnistes sont des mochetés, un troisième exemple ci-dessous :


L'acteur allemand abolitionniste (et défenseur de la cause animale c'est pour cela qu'il est photographié ici avec un ours blanc) Hannes Jaenicke
(trop craquant !)
 DELACOMPTEE Jean-Michel - 5

Et l'écrivain signataire du manifeste des 343 salauds, Jean-Michel Delacomptée.
Euh....comment dirais-je....moche, très moche même.
Je ne voudrais pas être la marchandise de ce prosti-tueur.

lundi 4 novembre 2013

Concours de beauté II

Puisque les grandes gueules de l'antiabolitionnisme ne sont pas convaincus, je prend un autre exemple. Ci dessous en haut, l'abolitionniste et écrivain allemand de science-fiction Frank Schätzing (hmm, trop chou ; le regard, ohlala !) et en bas : l'antiabolitionniste et écrivain franchouillard tendance baguette et béret Didier Goux. Là, comme avec Jegoun et Patric Jean, y a pas photo (enfin, si) les abolitionnistes sont beaux et les antiabolitionnistes sont moches.
Goux et Jegoun se tiennent les couilles contre les "affreuses" féministes. Il faut dire qu'en affreuseté, ils y connaissent un rayon.

Les antiabolitionnistes sont en général des mochetés

Quand il est question des féministes, les masculinistes (le mec du bas de page ici représenté) parlent volontiers de vieilles et de moches qui veulent leur interdire les plaisirs élémentaires de la vie.
Examinons un peu l'aspect des abolitionnistes et des antiabolitionnistes masculins : Patric Jean et la domination du discours phallocrate
Jegoun qui cogite Moche comme un antiabolitionniste (pouah !)


Y a pas photo ! (Ou plutôt si).

(Et il y en a d'autres encore)

dimanche 3 novembre 2013

Le pire moment est celui où ils sortent les billets


"L’image du client sauveur véhiculé par les médias et le lobby pro-prostitution est une vaste escroquerie. Le pire moment est celui où ils sortent les billets. Je sais que je suis minoritaire dans le milieu associatif LGBT. Les boutiquiers du Marais sont plutôt favorables au statu quo. Le STRASS, Hervé Latapie, Aides, Act UP et toute les associations qui luttent contre le SIDA sont des complices du statu quo en ce qui concerne la situation des personnes prostituées.
Je suis immigré, et je remarque que ce sont toujours des blancs friqués  qui prennent la parole dans ces assos là. D’ailleurs le STRASS se fout pas mal de la situation des Nigérianes et des Chinoises de Belleville. J’ai entendu un de leur membre dire que la situation des filles dans les réseaux n’était pas leur problème. J’ose le mot, il y a un soupçon de racisme dans ces associations qui acceptent la traite des femmes étrangères comme un mal nécessaire.
Quid des jeunes Roms qui se prostituent à Paris, garçons comme filles ? C’est ça qu’on veut pour eux, sachant que beaucoup sont mineurs. Le milieu LGBT me déçoit sur cette question mais après tout en tant qu’immigré je sais que les gays ne sont pas mieux que les autres. La première boite de nuit condamnée pour racisme était le Queen, haut lieu du milieu homo lors des années 90.

Un blanc qui exploite un noir, un vieux qui exploite un jeune, un homme qui exploite une femme, un hétéro qui exploite un Trans, un riche qui exploite un pauvre : c’est ça la prostitution, une relation de pouvoir sans égalité. Un gay blanc  de 45 ans me faisait la confidence : « Quand je serai vieux, j’aimerais bien me payer un ptit jeune pour m’amuser ». Beaucoup de gays de cet âge là ou plus âgés sont contre l’abolition de la prostitution pour ces raisons là. Ils veulent profiter de leur retraite et c’est mieux si la marchandise est exotique : Beurs, Chinois, Asiatiques, Brésiliens et j’en passe. C’est le règne de la gérontocratie blanche homosexuelle. Moi qui rêvait d’une société métissée et ouverte sur le monde avec un monde post-colonial, je me retrouve avec une communauté gay décomplexée par rapport au Front national et qui plus est, favorable au maintien du système prostitueur. Les vieux exploitent les jeunes et les blancs exploitent les minorités ethniques qui sont les plus fragilisés par la crise et enfin les riches gays exploitent les gays prolétaires et autres LGBTi déclassés et vulnérables.
Je suis gay, immigré, féministe, et pour la pénalisation des clients de la prostitution et pour l’abolition du système prostitueur. J’ai été une victime de ce système. La communauté gay me dit que je suis une salope ou une trainée et que je dois continuer à faire cela. Moi je pense que j’ai droit à l’amour, au vrai et au respect de moi même".



Autre article autre extrait tiré du livre de Frédéric Mitterrand :

« J’ai pris le pli de payer pour des garçons…Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici…Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément… On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable  … La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas ».

samedi 2 novembre 2013

L'Autriche réclame le modèle suédois

Pour l'abolition de la prostitution et l'adoption du modèle suédois en Autriche, La journaliste et cinéaste autrichienne Susanne Riegler lance une initiative intitulé "l'Appel de Vienne" (Wiener Apell). 

Regisseurin Susanne Riegler bedankte sich bei den Protagonistinnen für ihre Offenheit, vor der Kamera über ihre Erfahrungen zu berichten: "Das ist nicht selbstverständlich."
(Susanne Riegler à la tribune)


"La prostitution est un système qui donne le droit aux humains (en grande majorité des hommes) d'acheter et de disposer du corps d'autres humains (en grande majorité des femmes). Ce droit - apparemment l'un des plus vieux du monde - entraîne aujourd'hui une commerce de femmes dans une proportion jamais atteinte jusqu'ici et donne lieu à un marché dans lequel les proxénètes ont de plus en plus de pouvoir et font des profits de plus en plus élevés. La violence, l'humiliation, le harcèlement, la viol et le travail forcé s'y combinent. C'est pourquoi nous réclamons par l'Appel de Vienne la mise en place du modèle suédois. Une interdiction de l'achat de sexe car c'est le seul moyen d'obtenir que les hommes et les femmes coexistent dans une société égalitaire.


Ici la pétition.

vendredi 1 novembre 2013

Quand Delacomptée veut nous conter la prostitution

Manifeste des "343 salauds" : je l'ai signé et j'assume, je ne suis pas un "vieux con"

Par Jean-Michel Delacomptée
Écrivain

A lire ici

Florilège :

Quant au choix du nom, "Touche pas à ma pute", je peux comprendre les critiques de SOS Racisme. Mais c’est un effet d’annonce pour se faire entendre. 

Oh mon Dieu, on n'entend pas les pro-prostitution !

Ce qui me bouleverse, c’est d’être passé, à travers cette tribune, dans le camp des oppresseurs des femmes. Me faire traiter de ringard, de vieux con, me dégoûte. Je ne supporte plus ces anathèmes. Pourquoi ne pas nous traiter de vipères lubriques, pendant qu’ils y sont ?

Il est bouleversé !!!! Vite une larme ! Il est dégoûté, c'est horrible ! "Vipères lubriques" ? Pourquoi ce choix de nom femelle quand on est mâle (mal) ? Intéressant...

 

Il y a très longtemps, je suis allé voir des filles. C’était assez fréquent pendant son service militaire à l’époque. J’ai dû le faire cinq ou six fois quand j’avais 18 ans. C’était des filles qui n’avaient rien d’esclaves. La relation qui s’établissait était humaine, pas d’oppression. Cette époque est sûrement révolue, mais pourquoi rien de convaincant n’est fait pour lutter contre les mafias ?

Pas d'oppression. Juste un mec qui se vide les couilles dans un vagin loué contre de l'argent. "Les mafias  ?" Tu leur verses ton pognon. Tu l'as déjà fait. Tu en fais partie, banane !

 

"...sanctionner les clients, qui sont souvent de pauvres diables," 

 

Ah bon ? Ce ne sont pas des anges ? Ayons pitié des violeurs/loueurs. Ils ne font rien de mal, rien queue de mâle.

 

La France n’est pas obligée d’imiter la Suède, et ainsi de faire l’impasse sur les sensibilités différentes des peuples. 

 

Ah, le différentialisme ! Il permet d'opprimer chez soi en toute tranquillité en prétendant que lea voisin.e à une autre sensibilité ! Bien ouèj !

 

. Nicolas Bedos a fait le choix de s’en éloigner. C’est son affaire, mais cela déplaît.  

Remarque d'une commentatrice : "On dirait un message à connotation mafieuse transmis à l'intéressé, genre " Eh petit ! ce que tu viens de faire à été mal perçu par le milieu. La famille c'est la famille ".

 

 Conclusion

Le grand écrivain est vexé. La France est un pays de michetons qui se tapent des putes la baguette sous le bras et le béret sur la tête et doit rester telle ! Rompez les rangs. Je ne suis pas un vieux con seulement une vieille couille.