J'aime beaucoup le Huffington Post, taxé par le Tea Party de journal "gauchiste" (ce qui le situe donc au centre !). Enfin, surtout
depuis le 20 octobre dernier, à vrai dire... et en version d'origine (*).. En effet, ce jour-là, le magazine mère de celui que dirige en France Anne Sinclair depuis ce matin même, avait sorti des limbes un excellent article que je vous propose de remettre en mémoire. Un article sur la vie américaine, ou plutôt sur les changements de société survenus aux USA ces dernières années. Un pays où tout change en effet et où les lois et les instutitions doivent régulièrement être mises à niveau pour être en accord avec un mode de vie qui a évolué. Cet article, en effet, parlait du changement d'état d'esprit du FBI, par exemple, sur un phénomène de société dont l'acception qu'il en avait datait du temps d'Edgar Hoover, et qui ne semble plus acceptable de nos jours (**). Là-dessus, tout le monde était d'accord, sauf le FBI, jusqu' à cette véritable volte face de dernière minute en octobre dernier. Ce phénomène de société à redéfinir, c'est tout simplement la notion de viol au sein même du FBI, qui n'avait pas changé depuis des lustres. Que le Huffington Post en ait parlé doit sonner étrangement ce matin aux oreilles de la directrice de l'édition française. Car selon cette nouvelle définition, son propre mari rentre bel et bien... dans la nouvelle catégorie !
Le problème auquel étaient confrontés les policiers américains du FBI était en effet celui de la définition du viol, qui n'avait pas beaucoup changé depuis 1929 .. Comme le notait le Huffington Post, jusqu'ici en effet, "un viol était obligatoirement la connaissance charnelle d'une femme de force et contre sa volonté". Une définition "archaìque" selon le journal même. Car, comme le notait le journal dont Anne Sinclair est désormais la patronne française, "cette définition est plus étroite que celle utilisée par les services de police de nombreux travers le pays, et les défenseurs des droits des femmes disent qu'elle conduit à la sous-dénombrement des milliers d'agressions sexuelles chaque année". Le journal se montrait très précis sur ce changement fondamental de définition : "la nouvelle définition éliminait l'exigence que les agressions sexuelles soient « forcées », et supprimait la restriction que l'attaque soit envers une femme et incluait le viol et le viol sans introduction du pénis par un tiers".
La définition recommandée est ainsi libellée dit désormais que : "La pénétration, peu importe de quelle manière, même légère, du vagin ou l'anus avec toute partie du corps ou un objet, ou la pénétration orale par un organe sexuel d'une autre personne" est désormais considérée comme viol. Autrement dit une fellation sous la contrainte en était un, désormais. A l'origine de ce changement important, soulignait le journal, il y a Carol Tracy, qui est directeur exécutif du "Projet de loi sur les femmes", c'est elle qui a poussé le FBI à changer sa définition datant des dernières décennies. Le journal relatant son action ainsi : "le 20 septembre 2001, Tracy a écrit une lettre au directeur du FBI Robert Mueller en faisant valoir que la définition actuelle "sous-estime gravement l'incidence réelle d'agression sexuelle aux Etats-Unis aujourd'hui, confond et entrave l'application des lois, et décourage les victimes de dénoncer les crimes graves. Je pense que bien que ce changement était attendu depuis longtemps, le fait qu'il soit très soigneusement encadré par l'application des lois locales et nationales est vraiment important", a déclaré Tracy dans l'entrevue avec The Huffington Post. A noter que le fameux Robert Mueller, lui, n'a jamais changé de poste depuis le 5 juillet 2001. Son mandat devait expirer le 4 septembre 2011, mais Obama lui a demandé de rester deux ans de plus. C'est lui qui pendant des années à émis un avis de recherches sur Ben Laden où celui-ci n'était pas nommé comme responsable des attentats du 11 septembre...
Plusieurs mouvements féministes s'étaient joints à cette action de sensibilisation. "Le Feminist Majority Foundation a également été la tête de la campagne, un "viol est un viol " appelant le public à faire pression sur le FBI pour mettre à jour sa définition. « Cela permettra d'assurer le crime de viol soit mesuré de manière qu'il comprenne tous les viols , et qu'il devienne essentiellement un crime auxquel plus d'intérêt soit porté. C'est inséparable de la violence contre les femmes, et nous nous sentons que cela aura un impact significatif », a déclaré à Mme Magazine Eleanor Smeal, présidente de la Feminist Majority Foundation." Car le sujet devenait brûlant, à voir le bombre de cas non retenus en raison de la précédente définition." La définition actuelle étroite du viol par ke FBI a également créé des complications pour les services répressifs, qui ne peuvent pas déclarer toutes les viols qu'ils poursuivent pour les inclure dans les statistiques fédérales, si leur Etat ou de la localité a une définition plus large".
Les chiffres en effet montraient à l'évidence cette disparité entre les faits et le juridique : "par exemple, en 2010, le Chicago Police Department a déclaré près de 1 400 agressions sexuelles. Aucune d'entre elles, cependant, n'est apparue dans le rapport fédéral sur le crime parce qu'elles ne correspondaient pas à la définition du viol donnée par le gouvernement fédéral". Au point de fausser les calculs et leur représentation statistique dans le pays : "selon le Rapport 2010 du gouvernement fédéral sur la criminalité, il y avait eu 84 767 agressions sexuelles de signalées en 2010, soit une baisse de 5 pour cent par rapport à l'année précédente", martelait le "HuffPo". Le journal poursuivant "dans un récent sondage réalisé par le Police Executive Research Forum, près de 80 pour cent des 306 services de police qui ont participé a la définition fédérale indiquent que la notion de de viol était dépassée". Nous poursuivions selon un des critères, mais nous faisions les rapports selon d'autres critères", affirmait encore au New York Times Steve Anderson, chef du Département de Police métropolitaine de Nashville, ajouant "les seules personnes qui ont une image fidèle de ce qui se passe sont les personnes de l'unité des crimes sexuels." Celle dirigée par Lisa Friel, "chargée de l'enquête sur Strauss-Kahn", qui démissionnera en venant ensuite confirmer le cas. Nettement.
Celles-là mêmes qui ont interrogé Dominique Strauss-Kahn après son agression, en effet. La même cellule qui fera venir un médecin du "Safe"("sexual assault forensic examiner"), pour constater les lésions sur Nafissatou Diallo, qui avait ainsi raconté ce qui s'était passé : "l'homme nu aux cheveux blancs verrouille la porte et l'entraîne sur le lit" une première fois, avant de la conduire au bout du couloir, où il lui arrache les collants avant de saisir "la partie extérieure de sa zone vaginale." La conclusion du rapport est sans ambiguité. "Diagnostic : agression. Cause des blessures : agression. Viol" . Les avocats de Strauss-Kahn tout d'abord contestent, et finissent par parler "d'acte précipité" : le problème, c'est que pour le FBI, depuis, c'est bien une agression sexuelle considérée comme viol, les "rougeurs" constatées ayant été provoquées par la... main de l'agresseur, car depuis aussi, nous dit l'Huffington Post , un viol peut être reconnu "sans introduction du pénis par un tiers." Et là encore un fait non reconnu, l'accusé se retranchant même devant une immunité imagnaire de responsable du FMI.
Exactement la thèse défendue par Catherine Albertini, chercheure et membre de Choisir la cause des femmes : "c’est sans doute cela « l’erreur de DSK », un viol dont on tait le nom, un viol euphémisé en « rapport sexuel précipité ». Car DSK ne saurait violer. Sa position le rend forcément désirable pour toutes les femmes, on ne peut que mentir quand on lui résiste et ses propres incohérences dans la séquence du Sofitel n’ont pas été retenues contre lui. Dès son arrestation, il a invoqué la protection d’une quelconque immunité qu’il pensait associée à son statut, démontrant ainsi son sentiment absolu d’impunité. Il a nié ensuite farouchement qu’il se soit passé quoi que ce soit avec la femme de chambre Nafissatou Diallo dans la suite « présidentielle » du Sofitel de Manhattan. Puis, il fut contraint de reconnaître, les preuves ADN ayant entre-temps parlé, qu’il avait eu une relation sexuelle qualifiée de « consentie » avec Nafissatou Diallo alors qu’elle entrait dans la suite pour y faire le ménage. En 7 minutes chrono, entre 12h06 et 12h13, il faudrait que nous croyions au-delà d’un doute raisonnable qu’il a réussi à la séduire, à la convaincre des délices de « l’amour à la française », la pourchassant, lui arrachant ses collants et par là même sans « erreur » possible avec son consentement, lui bloquant la respiration, la sidérant pour finir par lui éjaculer à la face avec son joujou extra qui fait Crac Boummm Huuuu. Il s’agit non pas d’une relation sexuelle, comme nous le ressassent ad nauseam les médias, mais d’un combat sportif sexiste : un sport de combat. Avec un tel ami, les femmes n’ont pas besoin d’ennemis".
Ce n'est pas fini pour autant : dans le Huffington Post, on trouve aussi, d'autres indications intéressantes sur le contrat passé entre DSK et William Green, directeur d'une société d'anciens de la CIA pour effectuer une action de lobbying alors qu'il n'était que candidat à la tête du FMI, en 2007. Rien sur les 27 000 dollars payés à la société pour son activité pour approcher par exemple le Wall Street Journal et le Financial Times... Et le rappel quatre ans plus tard de la même société dans le but de dénigrer Nassifatou Dailo..., ce qui sera effectivement fait avec brio (mais là, le tarif est resté inconnu). Son action avait été ainsi définie par la presse (autre que le HuffPo) :
"- Attaquer la crédibilité de la femme de ménage de 32 ans, née en Afrique de L'Ouest.
- Soutenir que l'activité sexuelle était consensuelle
- Attiser les tensions entre musulmans et juifs (la jeune fille serait musulmane et M. Strauss-Kahn est juif)
Le fait qu'il ait consulté des anciens agents de la CIA pourraient raviver les spéculations comme quoi DSK estime qu'il y a un complot contre lui (comme il l'a suggéré à la Libération, journal français, il ya un mois). Cependant Reuters affirme que les relations DSK avec la firme de relations publiques sont "informels"."
Selon le "Huff", Green est très lié également à U.S. à Yulia Tymoshenko, la leader charismatique de la "Révolution Orange", ancienne premier ministre accusée aujourd'hui de malversations et emprisonnée. Voilà qui n'était pas vraiment pour aider l'ancien prisonnier de Rikers Island. Mais en même temps, ce même Hufftington Post allait donner un sérieux coup de main à DSK, en sortant des limbes une histoire de complot, que l'intéressé ressortira d'ailleurs sans hésiter lors de sa mémorable prestation télévisuelle sur TF1. Exactement celle mise en marche via Green et sa société TD International ! Ce qui permettra à certains de poser la question : "DSK a-t-il acheté sa liberté" ? Car Green n'était pas le seul à avoir été appelé au secours. "Aussi engagé, indique Reuters, la société Guidepost Solutions une “global investigations and security company” basée à New York. Son vice-président est Joseph Rosetti, un ancien officier supérieur consultant chez Kroll Associates (***) . Guidepost pourrait éventuellement prendre les devants dans la recherche en arrière-plan de l'accusatrice de DSK, peut-être même avec une équipe en Afrique de l'Ouest où elle a émigré il ya sept ans, bien que des sources ont cherché à minimiser cette option". Or, ce sont bien ses renseignements qui sont revenus directement chez... Cyrus Vance. Tout s'achète, tout se vend, y compris la liberté ! Rosetti, dirigeant de Safir Rosetti société fondée en 2001 à partir d'anciens de ChoicePoint, cette entreprise qui sous Bush avait décidé de mettre les Etats-Unis au complet en fiches et même... toute l'Amérique du Sud (?), et consacrait une bonne part des capacités de stockage (immenses) du super-ordinateur de Sandia pour ça. Howard Safir, nommé commissaire par Rudolf Giuliani en 1996 alors qu'il venait juste de prendre la tête de Splinternet Holdings Inc. une société de surveillance US. Un homme très lié à Marriott et Carlyle. Rudolf Giuliani, qui a aussi un avis propre sur la question du cas DSK.
Le site ajoutant : "moins formels sont les rôles qui peuvent être joués par quatre amis de DSK qui travaillent ou qui ont déjà travaillé pour la firme basée à Paris, Euro-RSCG PR. Connus dans la presse française comme ses "quatre mousquetaires", ils comprennent Anne Hommel, qui a contribué à la première déclaration de soutien à son mari lancé par Mme Sinclair. Mme Hommel aurait également accompagné Mme Sinclair quand elle s'est envolée pour New- York après l'arrestation." Une Anne Hommel que l'on retrouve ce lundi, justement, au chevet du "HP" français : "aucune information n'avait été donnée officiellement depuis l'annonce en octobre du lancement prochain d'une version française du site d'information américain, ni par la fondatrice du "HuffPo", Arianna Huffington, ni par Le Monde ou le banquier Matthieu Pigasse, partenaires économiques de Huffington Post France (avec respectivement 34% et 15% du capital)". Et sans surprise c'est la même équipe que l'on retrouve derrière Anne Sinclair, à la tête du magazine. "C'est finalement l'équipe d'Anne Hommel d'Euro RSCG, chargée de la communication pour le lancement du Huffington Post, et connue comme la conseillère en communication de Dominique Strauss-Kahn, qui a annoncé une conférence de presse, et par là-même la nomination d'Anne Sinclair." Le tout chapeauté par Mathieu Pigasse, présenté comme "un banquier rock’n’roll au chevet des dettes publiques"... ou le "le banquier d’affaires le plus déjanté de Paris", comme quoi il existe bien un rock trash...
Ah, ce Pigasse, ancien"N°3 de Bercy" du temps... de DSK, "né en mai 1968", actionnaire désormais du journal LeMonde, (pardon, devenu "le maître du Monde" comme l'écrivait son ami du Figaro) quel parcours : "son premier coup d’éclat dans ce domaine remonte à 2002 : la renégociation de 100 milliards de dollars de créance pour l’Argentine, alors en pleine déconfiture (****). Avec à son actif le financement de la reconstruction en Irak, de la nationalisation du gaz en Bolivie et de projets gouvernementaux dans de nombreux pays comme la Mauritanie et le Gabon, Matthieu Pigasse est aujourd’hui le chouchou des ministres des Finances." La reconstruction en Irak, lieu on l'a vu de tous les détournements financiers imaginables. C'est aimer les risques, ça. Un gars efficace, pour sûr : "entre deux deals, ce financier
déjanté a aidé Athènes à renégocier sa dette. En mode commando". Comme quoi aussi, la guerre ne se limite pas à une seule action... fut-ce t-elle de "commando"... sauver des vies, c'est la dure mission des "commandos" ! Mais il est vrai que l'on à affaire là à un problème quasi historique, comme le rappelle (méchamment) LePoint : "au Monde, on relève quand même qu'Anne Sinclair avait jugé que l'affaire Nafissatou Diallo était "une nouvelle affaire Dreyfus". Au moment même où Pigasse "soigne aussi son allure de dandy dégingandé, tout de Dior vêtu, tenant des discours de punk désespéré, de camusien désabusé, clamant son goût pour les Clash, les Sex Pistols, Sid Vicious, autant qu'Arthur Rimbaud, Paul Verlaine, Henri Michaux ou Gustave Flaubert, dont il cite avec délectation cette phrase, comme une provocation assumée : "j'écris pour faire vomir le bourgeois." Tout cela est à gerber, dirons-nous plus abruptement. Pour le Figaro, en juillet 2010, son ambition était très claire vis à vis du Monde : " il n'y aura pas d'intervention sur l'éditorial et l'opérationnel », répond-il à ceux qui pensent très fort qu'il voudrait se servir du Monde pour porter la candidature de Dominique Strauss-Kahn ou la sienne propre plutôt que de le servir." DSK étant "out"...
Green faisait pendant ce temps sortir en effet des "fuites" signées Leonard Levitt, qui insistait sur "les liens entre le commissaire principal de la police de New York, Ray Kelly et le président français, Nicolas Sarkozy. « Kelly et son épouse Veronica sont francophiles », affirme Levitt, qui rappelle que cela est notamment dû aux voyages réguliers que Kelly fait à destination de la France, où siège Interpol". Levitt entonnant visiblement sans vergogne l'air connu du complot : "Levitt va plus loin encore dans les liens qu'il décèle entre Sarkozy et le NYPD : pendant l'été 2010, le président français a remis la Légion d'honneur à Alain Bauer, criminologue français et expert en sécurité nationale, l'homme qui aurait permis à des détectives new yorkais d'être affectés en permanence à Paris dans le cadre de la lutte antiterroriste. Ray Kelly a été invité à assister à la cérémonie, relève Levitt". Le "Huff" et Levitt oubliant au passage que le patron de la police US Ray Kelly avait lui-même reçu la légion d'honneur (en 2006). A-t-on assisté à une autre forme de lobbying via le Huffington Post interposé (ici la version d'Agoravox) ? En tout cas, notre journaliste le laissait clairement entendre : "Levitt s'étonne que s'agissant des fuites touchant à DSK, Kelly se soit montré mou du genou. "J'espère que ça n'est pas le cas", a en effet sobrement commenté le chef du NYPD lorsque l'on a fait état de ces fuites devant lui. Or, Levitt rappelle (tout en précisant qu'il ne dit pas que Kelly ait pu se livrer à des actes répréhensibles en l'espèce) que dans une affaire de mœurs du même acabit, le même Kelly, confronté à des fuites, avait tout mis en œuvre pour en identifier les auteurs. Employant même le terme de "Chasse aux sorcières", Levitt décrit les méthodes musclées de Kelly utilisées alors pour démasquer les "fuiteurs", entre épluchage des relevés de factures téléphoniques et interrogatoires de tous les responsables concernés. Et Levitt de conclure que la différence de comportement du Kelly entre les deux affaires, pourtant similaires, est : "curieuse". L'auteur réservant ses informations complotistes sur son blog perso et le Huffington Post exclusivement... Levitt, un ancien du Peace Corps, en Tanzanie, journaliste devenu spécialiste de la Police de New-York et des ses dérives, accusant les policiers en particulier d'etre liés au millionnaire George Soros. Le Huffington Post, en exhumant une possible théorie du complot avait en tout cas bien aidé sinon à redresser l'image ternie de DSK, à incurver la trajectoire des journalistes sur son sort : mission réussie pour le Huff ! A noter que depuis, la page de Levitt du "HuffPo" évoquant les liens entre Kelly et DSK est désormais inexistante... disparue, envolée !
Pour d'autres, les "preuves" de ce complot étaient en effet "flagrantes" : " à l’évocation de ces liaisons troublantes revient immédiatement l’image de Nicolas Sarkozy quand le nouveau président de la république s’adonnait encore au jogging, Ray-ban police sur le visage et t-shirt frappé du sigle New-York Police Department(NYPD). Un t-shirt offert par la police de New-York. Sans doute en mains propres par Ray Kelly, le francophile patron du NYPD dont les services ont été aussi efficaces que bavards dans l’affaire DSK". Le même DSK arborant au même moment un superbe t-shirt imprimé "Yes we Kahn", parodie du slogan d'Obama du pire effet : la bataille des t-shirts avait-elle commencée ?
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